Nous deux
Tu me manques ...
Nous deux, sur un quai de gare, lors de son depart
Je ne lui ai pas montré
Mais sur le chemin du retour, sombrant de desespoir
Moi, Je pleurais.
C'est une chose qui m'arrive a chaque fois
Mais il ne remarque vraiment pas
Je retiens chacunes de mes larmes
et savoir le cacher deumeure ma plus grand arme.
Je garde foi en cette histoire
Je sais que souvent je montre le contraire
J'ai dû mal a me le faire croire
mais pourtant, moi, j'espére ...
Je me pose des questions
souvent qui tournent a contre courant
Je m'imagine toute sortes de situation
qui se disperesent comme des graines dans un champs
Je te regarde, j'ai tellement de choses a te dire
Mais je me tais, je me contente d'un sourire.
Je t'aime, Sebastien, Je t'aime.
"Nous étions face a face, la première fois. Je n'en croyais pas mes yeux, je ne savais que faire. J'étais angoissé et stréssé a l'idée de te voir, j'étais si sure quelque chose allait arriver pour que cet événement n'ait pas lieu. Et pourtant ! Tu étais bel et bien là ! Ce jour que j'appréhendais était arrivé.
Je me souviens, je t'avais agrippé du bras, pour te retenir et te serrer contre moi aussi tôt après un « salut ». On a passé la journée a songer paranoïaquement a un endroit susceptible d'être tranquille et posé a fin d'entamer notre première réelle discutions en face a face. C'est la que nous avons trouvé « le refuge » une petite grille se trouvant dans le jardin botanique au sain du jardin publique. Une grille pas comme les autres car c'est dessus, où nous deux nous nous sommes assis et avons parlé en tête a tête pour la première fois. Sur cette grille, ce jour là, j'avais pleuré. J'avais peur, peur de tout, peur du fait que tu partes sans jamais revenir, peur d'un depart. Il fesait étrangement beau, le ciel était dégagé, j'étais heureuse d'avoir passé cette première journée. Quelques heures qui ont merveilleusement fait de moi une rêveuse refoulée, je ne lui montrerais jamais ... jusqu'à aujourd'hui.
Après, nos moments passés ensemble s'enchaînent, chaque journée était différente, je serais incapable de définir la quelle serait ma préféré.
A chacun de tes départs, je pleure. Bizarrement je pleure. Mais je ne te l'ai jamais montrer, je suis peut être un peu trop pudique. Pourtant, plusieurs fois j'ai pleuré devant toi mais je dois t'avouer que ces jours là ma fierté en prenais des coups bien forts. Je n'ai jamais été très émotive avec toi. Je veux dire par la que je ne t'ai jamais vraiment exprimé mes sentiments. J'ai presque toujours gardé ce que je ressentais pour moi.
Je vais cependant me servir de ce texte pour te dire, pour me liberer de tout ce que je ne t'ai jamais dis."
A notre premiere rencontre ! A nos rêves !
Je ne dormais pas, je revais de toi éveillé
je n'y croyais pas, mais j'étais sure qu'on me reveillerait
j'étais là près de toi, alors qu'il y a quelque jours je ... pleurais
Sa semble fou, c'est le cas, tout me parait si ... changé
Ce jour là, tu m'as envahit
tu m'as allegrement sourit,
Mon esprit s'était enfoui
j'étais ailleurs, comme par magie.
Ces heures passés a tes côtés,
tellement belles, mon coeur a déraillé
J'étais totalement deréglé
cet amour m'a simplement fait rever
le temps a baclé ces instants
la rapidité m'a foncé dedans
je ne respirais plus
a la fin, de mes yeux, plus de nous.
Je ne te voyais pas
je n'osais pas me retourner
j'avais peur
te voilà parti pour chez toi
Quand vais-je te retrouver ?
reviens chercher ton coeur ...
reviens chercher ce qu'il t'appartiens
je te rendrais cette partie de toi
mais surtout n'oublis pas
je te donne aussi ce qui est mien
c'est a toi aussi ...
Fanny
Seule sans toi
Je repense a tout ce qu'on a vécu ensemble et surtout en si peu de temps, je songe a la manière dont notre histoire a débuté, comment elle s'est formée.
Je me souviens de ce fameux ou je t'ai dis "Je t'aime" et je me souviens aussi combien de temps il m'a fallut pour oser te confier ces trois mots et toi qui savait ce que j'allais dire enfin ... Ce que je ressentais pour toi. A ce moment précis, ou j'ai pris mon courage a deux mains et je t'ai confié ce que j'avais sur le cœur, dedans, partout ...Toi.
Au moment ou ma bouche a réussi a former un "je t'aime", je me suis mise a pleurer, désespérée que je croyais être. Pourquoi ? Je ne sais pas, peut être que j'imaginais que tu étais trop bien pour moi et malgré mes efforts quotidiens je pense encore de pas te mériter.J'avais peur de souffrir mais étrangement je soufrais déjà.
J'appelais ça de l'amour mais je priais pour que ça ne soit pas ça. Les jours qui ont suivi m'ont confirmés que j'étais bel et bien amoureuse de toi et ça empirait de plus en plus, le volume s'était multiplier en un rien de temps.Tu m'as dis aussi, quelques jours plus tard, que tu m'aimais, a ta façon, évidement.
J'ai pris du temps a déchiffrer ton message. Une combinaison insignifiante cachant sous ses lettres sans aucun sens visible " FANNYJETAIME" et je me souviens t'avoir dis que je ne l'avais pas lut alors que je savais déjà ce que ça voulait dire.
Je n'en croyais pas mes oreilles, je songeais a un rêve qui me faisait prendre le large et me déposait sur une petite ile déserte. Je rêve de toi et de moi, constamment. Je rêve éveillée de nous ... Tout ce que nous vivons est si ... exceptionnel. Je n'y crois simplement pas mais pourtant jour après jours je me réveille et tout cela n''est pas disparu, je vais finir par croire que ce que je vie est bel et bien la réalité.